Maillot officiel foot
Durant cette période, l’Inter enregistre le départ de ses stars allemandes Lothar Matthaus, maillot dortmund Andreas Brehme et Jurgen Klinsmann. La sélection allemande emmenée par Matthaus, Brehme et Klinsmann est sacrée championne du monde en Italie durant l’été 1990. Lothar Matthäus remporte le ballon d’or 1990 tandis que Brehme, Klinsmann et Zenga font partie des 10 premiers nommés. Pour déterminer le gagnant, un troisième match est joué le 26 septembre à Madrid, l’Inter gagne 1-0, grâce à Mariolino, et devient ainsi le premier club italien champion du monde. Cette période est marquée par la présence des 3 champions du monde allemands : Andreas Brehme, Jurgen Klinsmann, et Lothar Matthäus. Jurgen Klinsmann, Lothar Matthäus et Andreas Brehme remportent le Mondial italien de 1990 avec l’Allemagne. Matthaus sera sacré ballon d’or 1990 sous les couleurs de l’Inter. Dernier ballon en cuir véritable. L’enveloppe extérieure est alors constituée de 32 pièces de cuir (naturel ou synthétique), cousues entre elles, contenant une vessie de caoutchouc gonflable. Elle est située en plein milieu d’une zone marécageuse (la « Bassa ») et est installée sur une avancée de terre sèche. La rencontre face au Racing Club de France, champion de France en 1907, se tient pour l’occasion à Marseille sur le terrain du Stade helvétique, pour ce qui est la seule finale du championnat de France qui sera jouée dans le sud de la France.
Il figure dans l’équipe type de ce tournoi qui se déroule en Pologne. En 1984-1985, la star allemande Karl-Heinz Rummenigge en provenance du Bayern Munich intègre l’équipe. Son parcours commence au SM Caen de 1997 a 2000 en manque de jeu il est prêté la saison 2000-2001 au Red Star 93. Puis à la fin de saison retourne au SM Caen. Il ne manque qu’un trophée à ce Grand Chelem: la Coupe d’Italie. Sous la direction du sergent de fer, l’Inter remporte à nouveau la Coupe d’Italie de football en 1982 face à la Juventus Turin. En revanche, l’Inter est éliminé dès les quarts de la Coupe d’Italie. En 1967-1968, alors que l’ASSE est déjà sacrée championne pour la 2e fois de suite, l’OM parvient à remporter le match de phase retour sur le score de 2-1 et fait ainsi partie du groupe des rares clubs à avoir réussi à battre les Verts au cours de la saison. En grande partie dévastée durant la Seconde Guerre mondiale, en raison de l’occupation nazie, la ville devient le centre de la Résistance italienne. Les Isérois débutent bien dans cette partie mais ils se font surprendre dès la 15e minute par Issiar Dia qui ouvre le score, 0-1. Une dizaine de minutes plus tard Laurent Courtois frappe des 20 m et permet à ses coéquipiers de revenir à un partout.
Malgré de bonnes performances qui aboutiront notamment à un titre de champion et à une victoire en coupe de l’UEFA l’Inter ne parvient pas à totalement s’imposer sur une scène nationale très concurrentielle entre le Milan AC de Sacchi double vainqueur de la C1 et le SSC Naples de Maradona. Le début de saison n’est pas bon et fin janvier, le Milan possède sept points d’avance. La nouvelle saison commence avec un trophée majeur : la Coupe intercontinentale. Le tirage au sort de la Coupe n’est pas heureux : l’Inter démarre au Goodison Park de Liverpool contre Everton. Le nouveau président, Massimo Moratti, fils d’Angelo Moratti, qui a racheté le club en 1995, n’hésite pas à investir beaucoup d’argent sur le marché des transferts. En 2007, Guilherme Macuglia était le nouveau patron. La saison 1985-1986 est à nouveau décevante, l’entraineur Mario Corso est remplacé en cours d’année par Ilario Castagner. La troisième fois, il est maltraité par des paysans, qui le remettent aux Allemands. Les années qui ont suivi la finale de la Ligue des Champions 1972 ont vu l’équipe – aux prises avec un changement de génération – entrer dans une période sensiblement terne, avec des saisons mitigés malgré le retour temporaire d’Helenio Herrera sur le banc.
Le « magicien » Helenio Herrera achète des joueurs expérimentés pour les associer aux jeunes déjà en place et au talent de Mario Corso, célèbre pour ses coups francs « en feuille morte ». À Vienne, le 27 mai 1964, devant 20 000, Herrera pare tous les coups : Tagnin sur Di Stefano, son dernier match sous le maillot merengue, Guarneri sur Puskas, Facchetti marque Amancio, Burgnich contre la vitesse de Gento. Bologne s’impose 2-0 avec un des rares buts contre son camp de Facchetti et un autre de Nielsen. En 1980, Bersellini mène la Beneamata vers son 12e Scudetto. Aprés deux décevantes 4e place au classement, Bersellini quitte le club. L’Inter perdra les deux derby face au grand Milan AC d’Arrigo Sacchi. Cette politique ne permet pourtant pas au club de reconquérir le championnat, largement dominé par l’AC Milan et la Juventus. L’équipe réalise un bon championnat mais ne parvient pas à conserver son titre de champion, elle finit sur le podium derrière le Milan AC et le Napoli qui sera sacré champion. La rivalité sportive se symbolise par les courses au titre dans les championnats de France 1969-1970, 1970-1971 et 1974-1975. De manière plus globale, dix championnats sont disputés entre 1967 et 1976 et les deux clubs y occupent une place prépondérante.
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